J’ai qualifié « L’Année de l’Algérie en France » de « l’Algérie du garde à vous ». J’avais la conviction qu’elle profitait exclusivement aux intercesseurs du sérail, aux soldats du pouvoir et aux voltigeurs de la servitude. Je m’insurgeais contre cette manifestation, en invitant à décréter un droit à l’indifférence, …
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