Successivement identifiée par les acronymes MAMA (Musée d’art moderne d’Alger) , MAMCA (Musée d’art moderne et contemporain d’Alger) puis MPNAMCA (Musée public national d’art moderne et contemporain d’Alger), l’institution du 25 rue Larbi Ben M’Hidi fut voulue en 2005 dans l’optique de l’événement protocolaire Alger, capitale 2007 de la culture …
LireLes mardis c’est permis : Septembre en attendant l’hiver
Regard sur les expositions d’art en Algérie pendant cette rentrée 2018. Rapide tour d’horizon, tous les événements culturels qui vont nous permettre de nous évader et de tirer un trait sur l’été et l’oisiveté des vacances. Ce septembre a été marqué par des décès (d’abord, Djamel Allam, le compositeur rêveur …
LireLES ACTES MANQUÉS DE LA FOİRE “PRİNTEMPS DES ARTS” par Saâdi-Leray Farid
Du 05 au 12 mai 2018, le Palais de la Culture Moufdi-Zakaria accueillait dans le cadre de la manifestation Le Printemps des arts près de 180 intervenants (diplômés ou autodidactes) venus déballer des centaines d’œuvres (environ 500 toiles, sculptures ou installations), étaler un éventail de techniques, supports ou genres (modernes …
LireCes gens qui passent … n°3 par Talbi Farid
Le chikungunya, la dingue, la malaria, la paranoïa qui saisit l’esprit du maraudeur au dessus du désert des huiles minérales maudites, le bacille d’Ebola, « la ghouma » , choléra , des malheurs ancestraux au patrimoine des non-dits de la mémoire commune , la maîtrise retorse du verbe dans …
LireRegard sur l’école moderne marocaine par Jean Michel Bouhours
A la Biennale des jeunes de Paris en 1961, la section des artistes contemporains marocains crée la surprise : le talent de Gharbaoui, Belkahia, Cherkaoui, Melehi… s’impose. Les grands critiques d’art français prescripteurs de cette époque décèlent très tôt ce mouvement refondateur, faisant preuve d’une extraordinaire clairvoyance et objectivité : …
LireMARQUE POSTHUME À SONIA par Saâdi-Leray Farid
Dans un pays au fort pouvoir patriarcal, la comédienne Sakina Mekkiou, prénommée affectueusement Sonia, a, dès l’âge de 17 ans, défié la domination tutélaire, s’est dès lors départie du carcan familial pour profiler son identité singulière sur les planches du 4ème art, s’émanciper intellectuellement au fil des représentations, gravir les …
LireIl y a 15 ans, préparation de l’Année de l’Algérie en France (3e partie et fin) par Mansour Abrous
Le contenu de la manifestation : Le 10 février 2002, le 1er président du commissariat de l’Année de l’Algérie en France, cite, au titre des projets retenus, les projets labélisés « arts plastiques ». La présence des arts plastiques se fait dans trois volets, la peinture et la sculpture, le …
LireLe Printemps des arts : futur “placé-beau” correcteur d’Azzedine Mihoubi par Saâdi-Leray Farid
Pendant qu’une grue démolissait des abattoirs convoités (au mois d’octobre 2013) par les centaines de postulants signataires d’une pétition mise en ligne dans l’optique de les convertir en pôle créatif, le ministre algérien de la Culture annonçait le 05 mars dernier l’édition première du “Printemps des arts”, s’arrogeant par là …
LireEt Beloufa créa Nahla …. par Saâdi-Leray Farid
1962 et 1979 sont les deux chronotopes majeurs de la postindépendance. Si le premier correspond à la plongée immanente amorcée chez des artistes en phase avec la désaliénation fanonienne, le second synchronise le retour aux sources de salafistes en quête d’ancrages essentialistes susceptibles de servir d’incubateurs à leur future recomposition …
Lire2ème partie : Il y a 15 ans, préparation de l’Année de l’Algérie en France par Mansour Abrous
Les enjeux et le dispositif organisationnel : La décision d’organiser en 2003 une « Année de l’Algérie en France » a été prise par les deux chefs d’État, français et algérien, lors de la visite de ce dernier en France en 2000. Le comité national et le commissariat général chargés …
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